Qui suis-je ?
Timur Michelashvili en quelques points
(que ça fait bizarre de parler de soi à la troisième personne)
Ixellois.
Anversois de naissance, je suis fier d’être ixellois d’adoption. Notre commune est riche de sa diversité. J’en fais partie de cette diversité, et j’en suis fier. De multiples origines, je comprends les combats des ixellois de l’immigration, et je veux porter leur voix dans la politique locale. Mon identité est multiple tout comme celle d’Ixelles.
Libéral.
Je crois avant tout en la liberté des personnes. Nous sommes libres de nos agissements et de nos avis, je veux donc aider les personnes qui se retroussent les manches, qui font tourner notre économie et par elle notre commune. Mais cette liberté va plus loin, la maxime bien connue de “ma liberté s’arrête où la vôtre commence” en est une que je trouve très importante. Je suis pour la liberté de chacun d’agir comme bon lui semble, tant que cela ne perturbe pas l’ordre public. La liberté ne peut malheureusement pas être absolue, mais il faut tendre vers cela.
Centriste.
Je ne crois pas aux clivages. La stratégie de la bagarre peut marcher pendant une campagne, mais au final il faut composer avec tout le monde. Je veux toujours être empathique envers l’autre, et essayer de comprendre son point de vue.
Européen.
Je suis un fervent défenseur de l’Union Européenne et de tout ce qu’elle nous donne. Au niveau ixellois je veux travailler sur les échanges avec les villes jumelées, montrer à tout le monde qu’on peut être fier d’une Europe plurielle et millénaire. Le coeur battant de l’Europe, Bruxelles, et Ixelles doivent y prendre leur place logique.
Engagé.
Etant la première personne de ma famille à être née avec le droit de participer au débat public, je comprends profondément l’importance de cette liberté et de la démocratie occidentale qui nous octroie ce droit. La démocratie est frêle aujourd’hui et mise en danger par des forces intérieures comme extérieures. C’est un bien précieux qu’il faut avant tout conserver. Il est très simple de crier au scandale et à la dictature dans une démocratie, il est bien plus dur de crier à la démocratie dans une dictature. Cette différence je la comprends très bien, mon engagement se veut donc protecteur de cette culture du débat d’idées.
Jeune.
En dépendant de votre définition, cela sera plus ou moins vrai. Né en 1993 je vois très bien à quelles difficultés ont affaire les jeunes de notre temps. Je veux rendre Ixelles accessible pour eux en aidant à réduire les prix du logement, afin qu’ils puissent s’installer durablement dans notre commune.
Citadin.
J’ai toujours vécu en ville. Je veux donc rendre les villes les plus attractives possibles. En travaillant pour favoriser le développement des transports en commun et de la mobilité douce, je veux néanmoins pas oublier les difficultés des personnes qui ne peuvent pas s’en servir.
Ouvert.
Je veux porter la voix de tous les ixellois, venez donc me rencontrer, parlez-moi dans la rue, expliquez-moi ce qui vous importe. Je suis très loin de tout savoir, mais je veux tout apprendre !